Tes mains,
Des copines des miennes,
Me caresseraient
En rompant
Une inertie à l`air mou
Logée dans les entrailles
Avant la faim
Chaque fois que tu me cherches
Guidé par ta bouche
Qui goûte poitrine à poitrine les doutes
De la mémoire
Ou qui mord dans mes hanches
Des désirs refoulés,
Un arôme épais de frontières,
Un arôme d´épices primitives
Arriveront dans mon estomac
Pour ronger
L´assoupissement d´un peuple
Ainsi, mon ami ou mon obsession,
Nous pourrions mieux entendre
Le chant du coq
Ubaldina Díaz
Traduction: Vercin
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Merci bon amie pour la traduction!
RépondreSupprimeravec mon sentiments de remerciements trés aprofundités´ (??? no tengo diccionario aqui!!)
Ubaldina,